C’est un dévot, mais ce n’est là que sa fonction psychologique.
Il va de soi que l’idée qui se forme en nous des costumes d’une époque est d’autant plus générale qu’elle repose sur un plus grand nombre d’exemplaires pris, soit dans un même temps, soit dans des temps successifs. CHAPITRE XX De la loi d’apparence.
Si donc on se demande quelle est la règle générale qui doit présider à la mise en scène d’une pièce dont la difficulté de représentation provient de la distance ou du temps, nous dirons que cette règle consiste dans la prédominance des traits généraux sur les traits particuliers, aussi bien dans les idées et dans le langage, ce qui est du domaine du poète, que dans la décoration, dans le matériel figuratif et dans les costumes, ce qui rentre dans le domaine du metteur en scène. Après avoir établi les lois générales de la mise en scène, nous avons, dans les chapitres précédents, examiné les causes diverses qui peuvent les infléchir.
Il n’en est pas de même sur un théâtre, où les acteurs se meuvent sur un plan supposé horizontal, terminé par un plan vertical qui forme le décor du fond.