On peut citer comme exemple le rôle de la figuration au cinquième acte d’_athalie_

Toutefois, dans ces cas-là, il faut user d’artifice autant que possible dans la disposition et dans la plantation du décor. De l’usage des lorgnettes. C’est ainsi que dernièrement, à l’Odéon, à une représentation d’_Andromaque_, j’ai vu supprimer la figuration dans la dernière scène du cinquième acte, ce qui est absolument contraire au texte de Racine, ce qui nuit à l’effet représentatif de cette suprême scène et ce qui en outre entraîne la suppression des quatre derniers vers de la tragédie. Il faut à l’esprit, pour suffire à cette coordination presque incommensurable, un influx constant de force nerveuse dont rien ne doit venir troubler ou détourner le cours. Lorsque Basque avance des sièges sur l’ordre de sa maîtresse, il pourrait lui arriver, sur le théâtre comme dans la vie réelle, d’approcher un nombre de sièges supérieur à celui des personnages. Cela étant bien compris, voyons quel était jadis le rôle de la musique dans les représentations dramatiques.